Ces lésions sont-elles bloquantes pour la réplication de l’ADN, et donc létales pour la cellule, ou non ? Et si non, sont-elles mutagènes ? En collaboration avec l’université d’Aix-Marseille, ces sondes ont été transfectées dans des cellules en culture. Il a été montré que les lésions dues à de petits adduits (méthyle) sont réparées efficacement, tandis que les adduits plus volumineux (de type hydroxyéthyle et au-delà) créaient des lésions hautement mutagènes.
609 La lésion O6-hydroxyethylGuanine.